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machinatextes

27 février 2009

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Un petit loup, le pelage gris, et les yeux marrons, se dirigeait impatiemment vers une source d’eau, la rivière. Il vivait dans la forêt. Il buvait chaque jour dans la rivière. Il devait donc rester proche de l’eau pour pouvoir boire lorsque l’envie lui prenait. Mais un jour, le climat s’asséchait, vidant la rivière de son eau. Le lendemain, lorsque le loup aperçut le méfait, il fut à la fois intrigué, et très enragé. Comment pourra-t-il survivre ? Il lui faudrait désormais partir à la recherche d’un nouvel endroit où dormir.

 

Mais lorsque le loup était arrivé si près de la rivière, il avait déjà connu beaucoup de situations très dangereuses, et n’en vécut aucune lors de son arrivée. Il en avait alors déduit que c’était l’endroit le plus sûr.

Maintenant, ce petit s’approchait de plus en plus de la plaine verdoyante qui longeait la sortie de la forêt. Le petit loup assoiffé, chercha une rivière dans toute la plaine, mais il ne savait pas qu’on n’en trouvait pas à cette époque, en 2050, et à cet endroit.

 

Le loup se nommait Milas. Milas savait pertinemment qu’il ne pourrait pas rester vivant très longtemps en ne buvant rien. Deux jours passèrent. Le loup, exceptionnellement rapide, arriva jusqu’à une autre forêt, malgré la soif et grâce à la soif qui le tenaillait. Il trouva finalement une autre rivière, avec de l’eau. Epuisé, il ne put que marcher et arriva lentement à la rivière. Il but, et fut coulé par une personne ou un animal inconnu, dans ce qu’il convoitait. Il ne sentait plus sa respiration, se sentait mourir, une sensation terrifiante, terrible, à glacer le sang de n’importe qui.  Le loup coula, glissa jusque dans les rapides, et finit par réussir à s’accrocher à une branche placée au meilleur endroit où il pouvait l’attraper.

 

Il se tint à la branche mais ne put tenir longtemps et fut de nouveau recueilli par la source d’eau. Ce loup vit le torrent, et tomba, mais là, stupéfaction :

L’eau s’asséchait, rapidement et sûrement ! Il était sauvé ! Pas vraiment, certes, car il devait pouvoir boire, mais l’assèchement de l’eau lui permettait de ne plus risquer de se noyer.

Une heure plus tard, il se trouvait loin de cette tranchée creusée par l’assèchement.

 

Une nouvelle question le turlupinait désormais :

Comment pourrait-il boire quelque part ? Un autre loup le vit.

Milas et lui se regardèrent longtemps. L’autre loup se nommait Malice, il portait un pelage gris, et sa vieillesse ne lui permettait pas de se déplacer comme il souhaitait.

Le regard, chez ces loups, remplaçait la communication des humains. Il en ressortirait cela, si on traduisait leurs regards en communications humaines :

-Que veux-tu ? fit Malice.

- Je souhaite un endroit pour boire, répondit l’interlocuteur.

-Il n’y en a plus, et tu le sais, dit le loup âgé.

- Je croyais qu’il en resterait au moins un peu … hasarda Milas.

- Sais-tu, nous sommes les deux derniers loups , viens avec moi et je vais t’expliquer , conclut Malice.

 

Les deux loups marchèrent, et discutèrent, inquiets. Ce fut le vieux loup qui fit débuter la conversation, par les regards, évidemment :

- Tu dois savoir que tous les loups sont morts, y compris les tiens …

- Mais, dans ce cas, comment survivrons-nous ?

- Il n’y a que deux possibilités : laisser les loups disparaître, ou s’en remettre aux humains.

- Je préfère faire disparaître les loups que m’en remettre à ceux qui causent les ennuis de la planète !

- -Réfléchis ! gronda le vieux loup. Sont-ce tes convictions ?

- Oui, continua Milas.

 

-Alors, faisons comme tu le souhaites, mais sache que les conséquences sont très lourdes. 

- Oui, je le sais , mais préfères-tu devenir un mutant ou mourir naturellement ?

- Tu as raison, mourons.

Les deux loups moururent quelques jours plus tard, par le manque d’eau et par la pénurie d’aliments.


C'est un texte sur un thème que je n'aime vraiment pas ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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27 février 2009

Le pire anniversaire jamais vécu

Je me levais. Tut … tut … tut ! Mon réveil ! Nous sommes Jeudi, le jour de mon anniversaire ! Oh non, il fallait que j’aille à l’école, c’est impossible un truc pareil ! 

Je regardais dans le placard, mais je ne trouvais pas de petit déjeuner … Comment pourrais-je aller à l’école le ventre vide ?  Mais bon, j’étais bien obligé d’y aller …

 

A 8h00 je me dirigeais donc vers mon collège avec mon car et des élèves qui ricanaient bêtement devant ma magnifique présence. Cela me faisait beaucoup de peine de devoir aller à l’école un jour pareil … Deux autres élèves marchèrent vers moi et essayèrent de me cloîtrer dans une pièce toute sombre, que je ne connaissais pas … J’arrivais donc en retard pour mon premier cours : le cours de math, ma bête noire. En plus, le professeur me détestait et je reçus une colle de deux  heures pour le soir. Depuis une heure, mes camarades ne cessaient de ricaner … en me regardant. Je me demandais pourquoi, puis je me regardais le torse et je remarquais l’absence de  mon T-shirt. Quelle pouvait bien être cette malédiction ? L’anniversaire de mes seize ans se révélait décidément bien décevant.   

 

Après un cours bien ennuyeux, je me rendis, lors de l’intercours, aux toilettes, pour mettre le T-shirt que j’avais pris le matin en le prévoyant pour le sport. En français, je me rendis compte que j’avais oublié mes affaires, et toutes celles des autres matières, sauf pour le sport . Je faisais un rapide et  calcul des punitions : 2h de colle pour le soir et 3000 lignes à réaliser pour le lendemain ! Ce n’est pas possible un anniversaire pareil ! Comment survivrais-je à un tel supplice ? 

 

A midi, nous eûmes droit à … rien ! Les cantines scolaires étaient vides, les fournisseurs avaient complètement oublié d’apporter la nourriture … j’en déduisais que j’aurais encore faim jusqu’à ce que je prenne quelque chose chez moi.

 

Lors de la fin des cours, alors que j’attendais mes parents, personne ne vint. Je fus donc contraint de prendre le bus. Le soir, s’il y a bien quelque chose que je déteste c’est prendre le bus tout simplement parce qu’il suit un circuit particulier et que cela dure interminablement. Enfin, arrivé chez moi, je dus monter les mille mètres restants. 

 

Je commençais vite à trouver mon sac très lourd. Je l’ouvris, car étant donné que je n’avais pas pris beaucoup d’affaires, cela était très étrange. Je vis alors quelque chose qui me rendit stupéfait. Je devins rouge de colère, car apparemment des élèves s’étaient amusés à placer des cailloux énormes dans mon sac. Je les enlevais alors, et cela me permit d’être largement moins fatigué par le trajet que cela l’aurait été si j’avais laissé les pierres …  

 

Arrivé pas très loin de la maison, un téléphone sonnait sans arrêt. J’eus tout de même le temps, avant de répondre au téléphone, de m’apercevoir que toute la nourriture avait disparu , et qu’à la place trônait au beau milieu de la table, un gâteau au chocolat avec un mot à côté, fait à l’informatique, et en italique, par mes parents  : Nous sommes désolés, mais nous avons du partir chercher ton frère , et la seule boulangerie restée ouverte n’avait que ce gâteau-là à nous vendre … Nous n’avons d’ailleurs plus d’argent, la boulangère n’ayant plus rien à vendre étant donné ses difficultés financières pour commander de nouveaux produits boulangers… le prix du gâteau était donc du montant de la moitié de notre somme, ,et le reste est allé dans la nourriture achetée hier . A plus tard, on t’aime.

 

Je portais et je lisais le mot tout en me dirigeant vers le téléphone et j’entendis :

 

- Allô ! C’est la gendarmerie qui vous appelle. Je ne sais pas quel membre de la famille vous êtes, mais je vous annonce que Mr. Déni et  Mme Déni ont eu un accident aujourd’hui  en allant chercher un autre membre de la famille. On m’informe également qu’ils n’ont pas survécu à l’accident étant donné la vitesse de leur collision avec un autre véhicule, et les différents facteurs du manque de sécurité, par exemple le non port de la ceinture … Je suis sincèrement désolé pour vous … Aurevoir. Et le policier avait raccroché. Il ne me restait plus qu’à aller chercher mon frère … à dix kilomètres de là ! Je pris une part de gâteau, et je m’en allais le chercher à son école maternelle. Heureusement que j’étais un bon « marcheur » ! Arrivé là-bas, mon petit frère de quatre ans boitait.

Qu’est-ce que tu as ? lui demandais-je.

 Il me répondit qu’il était tombé du toboggan de l’école. Je dus alors le porter. Je pensais sans arrêt qu’aujourd’hui était le pire anniversaire de ma vie. En plus, étant donné que j’avais fait les deux heures de colles consécutives, la nuit était tombée. Lorsque je franchis la porte, je découvris qu’un cadavre gisait dans ma demeure. Le cadavre était là depuis longtemps … Je dus l’enterrer dans la plage qui longeait ma « résidence ». 

 

 Et là, ma stupéfaction fut justifiée par le fait que le gâteau était désormais moisi, car je l’avais laissé à l’air.

 

Vingt minutes plus tard, je me mis à vomir comme je n’avais jamais vomi, à cause de la part de gâteau que j’avais prise en rentrant. Mon frère, que j’avais couché il y avait de cela trente-cinq minutes exactement, se réveilla à cause du bruit réalisé par mon vomi lancé dans les toilettes. Au bout d’un moment, je ne pouvais plus viser dans le gouffre. Je dus ensuite nettoyer le sol. Faire en sorte que mon petit frère dorme.

 

Evidemment, une heure plus tôt, je lui avais donné à mangé les spaghettis d’hier. J’avais de la chance, il n’était absolument pas difficile pour la nourriture et m’obéissait très bien.

 

Je réalisais mes devoirs, je fis mes trois mille lignes de « je ne dois pas oublier mes affaires » et je me couchais dans mon lit. Je fus mouillé de la tête aux pieds, je me levais, j’allumais la lumière, et vis l’eau. Je changeais mes draps, jetais l’ancien au sale, et pus me rendormir, et … pleurer mes parents.

 

C’était le pire jour d’anniversaire que j’avais jamais eu … Je prévoyais de m’occuper d’autre chose le lendemain, et de ne pas aller à l’école.

 

 

27 février 2009

Je commence ce blog avec une petite présentation

Je commence ce blog avec une petite présentation de moi :

j'ai seize ans, et j'aime beaucoup écrire, et lire. J'ai créé ce blog pour partager ma passion, et améliorer mon écriture, car une passion peut être une passion où l'on n'excelle pas , surtout si l'on débute. Effectivement ma passion pour l'écriture vient de naître, après celle de la lecture, qui date de longtemps.

Etant donné que ce blog est réalisé pour partager une passion et non pour aborder des sujets à risques et des conflits, je vous prie de vous respecter tous, quellle que soit votre personnalité ou celle de votre interlocuteur.

Evidemment, vous pouvez donnez vos avis, encore une fois dans un respect total.

J'ai l'intention de poster divers textes ici ... merci de donner un avis constructif !
Peut-être que je dériverais dun sujet du blog, et ce peut être des publicités pour des forums. Sympathiques, enchanteurs, ou perfectionnés, les forums proposés seront des forums de qualité, même s'ils se rejoignent. L'intérêt de cette diversité réside dans les multiples avis que l'on peut recevoir, et la liaison d'amitiés n'est pas rare.

Les commentaires avec un orthographe "com sa " seront supprimés,ainsi que ceux irrespectueux.

Merci de votre compréhension et bonne visite sur mon blog !

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